Guerre et Conversion: Baltica
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Guerre et Conversion: Baltica

Gestion, guerre, diplomatie, commerce, il est dur d'etre un souverain compétent. En serez-vous capable ? Incarnez un chef de tribu, maitre, prince ou souverain d'une des factions disponnibles dans une Europe du Nord tourmentée.
 
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 Printemps 1239 - Siège d'Assanis

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Le Troubadour
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Le Troubadour


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MessageSujet: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMar 30 Nov - 13:58

Printemps 1239 - Siège d'Assanis

Gadimar siegeait dans sa tente, le fleau des chrétiens n'était plus que l'ombre de lui meme. Il se mit alors a penser, "et pourtant cela avait si bien débuté, les armées ne connaissaient ni la peur ni la faiblesse et à présent la situation est si critique..."

Il est vrai que la position de Gadimar fut loin d'etre idéal, lui qui était en position de si grande force la saison passée était aujourd'hui sur le point de plier car le siège que subissait ses armées était terrible. En effet, il ne fallut que quelques semaines pour la faim se fasse cruellement sentir dans les rangs de la grande armée pruthènes qui bien que préparé à la guerre n'était pas préparé à se faire assiéger elle meme. Ainsi c'était un bien sombre destin auxquel ses hommes étaient confrontés, la mort par la faim ou la mort par les flèches. Dotant que certaines armées, telles celles de Nadruvie étaient en campagne depuis un long moment et cette crise attenta davantage leur moral. Ainsi nombreux furent ceux à estimer qu'il aurait plus de chance à échapper à l'acier des lames et flèches polonaises qu'à la faim. Ainsi en l'espace d'une saison plusieurs hommes désertèrent ou tentèrent de déserter les camps pruthènes mais nombreux furent arretés par les impitoyables carreaux polonais.
Toutefois il ne fallait pas généraliser cette situation, car ceux à ne pas perdre espoir et à continuer de louer le nom de Perkunas et de Gadimar restaient nombreux. Et Gadimar n'était pas homme a abandonné sans meme combattre. Il entreprit donc de faire ce qu'il pouvait. Son principal soucis ne venait guère d'Assanis mais des forces mazovo-poznanienne qui s'étaient déployés en si grand nombre. Nombre qui était d'ailleurs difficilement estimable mais que bien vite le siegneur de guerre rapprocha du nombre d'homme dont il disposait lui meme. A ceux-ci pret que ses hommes connaissait la faim et le difficulté.

Mais le coeur pieux et humble du roi de Natangie le poussa à regarder plus loin que cette seule barrière, il regarda les cieux et implora les dieux de lui venir en aide. Ceux-ci lui avaient offert leur force durant tout ce temps ils ne pouvaient l'abandonnés en pareil moment. Gadimar mit alors tout en oeuvre pour mériter leur aide, il continua de se débattre hardement face au piège qui le serrait. La nuit venue il envoya des hommes incendier les tentes et polonaises, parvint à faire passer un régiment entier de soldats en dehors de l'étau polonais et il attendait de ces hommes le salut de son armée.



Depuis les positions polonaises on ne tarda pas à répondre avec forces à ces incendies qui furent bien vite contenus et maitrisés sans causer de réels dégats. Le duc Conrad en pensant à ces actions esquissa un sourrire, bientot, les puissantes armées de la chretienté raisonneront sur terre et dans les cieux et les paiens pourront voir alors de leurs yeux la force irrésistible des armés du Christ.
Dans un claquement sec et puissant le crochet fut ôté de son crantage. Libérée, la puissante verge de chène fut propulsée vers le haut, entraînée par le poids de la huche. Icelle formait un contre poids de plus de 20 000 Livres !
La fronde de cuir, parvenue au sommet de sa trajectoire, libéra le projectile de près de 20 livres. Icelui, formé d'une pierre taillée et arrondie, entourée de paille tressée et de poix venait juste d'être enflammé.

Le grondement de l'air traversé par le tir sembla assourdissant. A plus de 500 coudées, le boulet atteignit sa cible par delà les pallissades des paiens ! Les flammes se répandirent de part et d'autres du point d'impact, semant la peur et la cosnternation, tandis que, rebondissant sur le sol gelé, le projectile fracassa membres, têtes et écus de bois avant de finir sa course folle et meurtrière dans une tente en peau de bête, déclenchant hurlements et cris de terreur.

"Sauf votre respect, seigneur Duc, ce Konrad à la verge puissante !" s'exclama le chef engingneur, tandis que la haute stature du Duc de Mazovie contemplait l'effet du tir d'un de ses mangonneaux.
Oustre le Konrad, avaient étés élevés le Ladislas, le Saint Pierre, le Saint Paul, le Saint Georges et le Saint Dominique. A raison de deux fois par heure de relevée, chacun des terribles bras armés de la puissance et de l'ingéniérie polonaise semait la mort et la désolation dans le camp de Gadimar.
"Fléau des Chrestiens ! Vois la puissance divine !" tonna l'Evèque de Plock qui s'était approché du Duc. Ce dernier avait sourit à la saillie de son chef ingénieur, mais resta à contempler l'immense campement ennemi et, par delà icelui, les murs d'Assanis.

C'était la vesprée. L'Evêque se dirigea vers l'autel de plein air dressé sur un tertre et protégé par une immense croix dressée dès le début du siège.
L'assistance était nombreuse, même si la plupart des hommes de guerre surveillait l'ennemi ou manoeuvrait l'artillerie. L'une des nombreuses messes quotidienne commença.
Les chants, puissants, s'élevèrent et portés par le vent glacial de l'hiver, parvinrent aux oreilles des défenseurs de la cité, non sans avoir enveloppé le camp paien, soumis à la peur des tirs et à la colère divine.
Le duc de Mazovie, après un dernier regard aux flammes qui s'élevaient par delà la palissade paienne, félicita d'un geste les artilleurs puis rejoignit la messe.
Mille gorges entonnaient à toutes forces le chant liturgique. Konrad les accompagna de sa voie grave, tandis que, du coin de l'oeil, il voyait le Ladislas propulser à son tour un projectile enflammé vers les lignes de Gadimar.

"Le fer et le feu. La vaillance et la prière.." songea le Duc..

L'enfer semblait sans fin pour Gadimar et pourtant, celui-ci ne perdit ni espoir ni la foi.



En Galindie un orage gronda et un arbre prit feu devant les yeux ébahit du roi des Galindiens. Deux jours après ces événements, il apprit de par des survivants le siège d'Assanis par Gadimar et la position si délicate dans lequel celui-ci se retrouvait. Habituellement la Galindie n'a que faire des affaires de ses voisins mais cette fois ce fut différent.

Celui qui était si réputée en Prusse connaissait de grave difficulté et la seule véritable armée qui pouvait le sauvé été la si terrible force galindienne. Bien vite, le roi vit en cette situation le moyen unique pour étendre l'influence de son domaine et renforcer la grandeur de son domaine.
Durant des jours il fit dépecher des émissaires dans ses contrées afin d'appeler à la levée d'une grande armée. Sous les ordres du roi nombreux furent ceux à se rassembler dans la prevision d'une grande victoire. Car Gadimar n'était pas le seul à ignorer la défaite et le roi de Galindie, par cette action de force était bien décidé à montrer sa puissance au monde. Ce fut alors toute la Galindie qui trembla lorsque son armée se mit en marche. Ayant revetut ses plus belles armes et fourrures le roi prit lui meme la tete de son armée. Et à peine avait-elle quitté son camp pour débuter sa marche qu'on annonça au roi l'arrivée d'une autre armée, la Sambie s'appretait à rejoindre les grandes armées de Galindie.

Lorsqu'un messager annonça cela au roi il ne put contenir sa joie, pensant immédiatement à la victoire éclatante qu'il remporterait en libérant les forces de Gadimar. Il retarda donc son départ pour attendre les forces sambiennes et marcher à ses cotés.
Quand les armées sambiennes arrivèrent face aux troupes galindiennes il n'y eut nul accolade ou signe d'amitié entre les généraux et les hommes de ces armées. En effet, nul vrai relation n'existait pour l'heure entre la Sambie et la Galindie et une collaboration militaire n'est pas toujours aisé dans de tels conditions. Et pourtant, une cause semblait cette fois les unir, l'avenir de Gadimar. Mais que donc succitait donc cet homme dans le coeur des hommes de Prusse pour qu'autant d'invidus s'impliquent dans ce conflit ? Cela tous semblait l'ignorer et peut etre d'ailleurs ne se sont-ils jamais posés la question véritablement.
Quoi qu'il en soit, ce fut avec un léger retard que les armées galindiennes purent donc reprendre leur marche inexorable vers Assanis.



Mais la situation de Gadimar n'avait pas sollicité la seule attention de la Sambie et de la Galindie. Le Grand Pretre de Sasnie depuis Liwto était lui tout ce qu'il a plus réaliste quand à l'avenir de la Sasnie si les armées pruthènes ne parvenait pas à vaincre.

Certes il avait été défait mais il ne pouvait rester sans réagir. Ainsi depuis Liwto il fit appel à des volontaires au nom de la liberté et de la force de Perkunas. Il vanta aux Sasniens fidèles aux cultes ancestraux la volontée des dieux de se joindre à la ce que déjà l'on qualifiait de grande et pieuse campagne.
Il fallait libérer Gadimar de son étreinte mais l'ennemi était puissant et le combat serait rude, cela le grand pretre le savait puisque il avait pu en faire les frais. C'est ainsi que dans un dernier élan il rassembla des forces volontaires et pieuses afin de fondre sur les positions polonaises.



A Assanis, Siemovit était fort inquiet. Depuis de nombreuses semaines déjà la nourriture commençait à manquer. Afin de rattarder au plus longtemps possible la famine on avait alors entamer l'abbatage des montures afin qu'ils servent de nourriture à une population qui subissait un siège depuis déjà trop longtemps.
Siemovit baissa les yeux pour ne pas voir ce triste spectacle et pourtant malgré tout ses efforts et un rationnement toujours plus important, la famine frappa la ville. En effet, on put décompter les premiers cadavres et fasse à une contagion et des maladies potentielles on entreprit alors de les faire parvenir jusqu'à la proximité du camp ennemi grace à l'action des armes de sièges. L'eveque d'Assanis regarda cela avec desarois et désemparement tentant de contenir du mieux qu'il pouvait toutes ces familles qui auraient exiger que l'on traite les dépouilles de leurs mots avec plus d'égard.
Siemovit regardait l'horizon et attendait un message, il savait son père non loin et avait pu entendre les prières chrétiennes la nuit précédente. Mais depuis, plus rien...



Dans le camp de Gadimar on patientait, une attente longue et difficile, mais en quel nom ? Des renforts viendraient-ils vraiment les libérer ? Cela Gadimar en étép persuader.
Depuis ses positions il pouvait entendre les prières chrétiennes. Certainement afin de les destabiliser pensa-t-il tout d'abord et n'y prétant que peu d'attention il regagna sa tente afin de trouve le sommeil.
A lendemain il put voir le camp chrétien qui semblait désert, seuls quelques gardes restaient présent, mais l'armée polonaise semblait avoir disparue durant la nuit. Les dieux les auraient-ils chatier durant leur sommeil ? Suite à une rumeur de renforts importants auraient-ils prient la fuite ? Se cachaient-ils quelques part dans les alentours ?
Le roi ne pu trouver de réponse à ces questions. Ne sachant pas de quoi il en retournait il décida de faire preuve de patience et d'attendre un signe plus clément et clair.



Durant la nuit, les forces du duc Conrad s'étaient bel et bien déplacées vers des lieux plus reculés où elles se dissimulèrent. Les Polonais attendait patiement que les forces paienne s'élancent sur leurs murs afin de leur faire la surprise de leurs nouvelles positions. Et pourtant rien ne fut ainsi et le calme resta de rigueur.

Du moins jusqu'à ce que l'on rapporte des nouvelles inquiètantes au duc. En effet, arrivant au grand galop, de nombreux éclaireur amenère un message fort mauvais. En effet, on signalait d'important mouvement aux alentours de Liwto et aux frontères galindienne.
Ainsi donc, il y avait fort à parier pour que des armes se portent au secour de Gadimar. Il n'en fallut pas plus au duc pour prendre une décision immédiate il sonna le rassemblement des troupes et se prépara à lancer un assaut au plus vite sur les positions pruthènes afin de briser le siège d'Assanis de manière définitive.
Bien vite, trop vite, le jour de la confirmation arriva, alors que les troupes polonaises étaient en émois, pretes à en découdre on annonça avec certitude la présence, non loin, des grandes armées galindiennes ainsi qu'une forces moins importante certes mais tout aussi menacante venant de Liwto, rassemblée par le grand pretre.

Une grande bataille s'appretait alors à faire rage...


(Hj: Merci tout d'abord au duc Conrad pour une partie de ce rp qu'il a brillament écrite et que vous arriverez sans nul doute à discerner. Enfin il s'agit ici de la première partie présentant rapidement les forces en présence et les dernières actions, la suite, la grande bataille, viendra cette aprem vers 18h je pense, suspens donc... Wink )
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMar 30 Nov - 21:15

Printemps 1239 - Siège d'Assanis

Lorsque qu'on lui apporta la nouvelle le duc laissa échapper un grincement de dent. Venant du Nord, les forces du grand pretre, venant de l'Est les innombrables de Sambie et de Galindie. Les armées polonaises allaient devoir faire preuve de leur bravoure si elles vous sortirent victorieuses de ces ennemis sortant des forets et marais prussiens. Le duc, homme pieux, garda la foi et fut confiant en la victoire. Cependant, il ne lui fallait par perdre de temps, celui-ci était compté.

Il fit préparer les machines de siège et ordonna que l'armée se tienne pret à l'asaut. Depuis sa tente, le duc Conrad, malgré son age, décida de prendre lui meme part à la bataille. Il en appella donc à son valet pour que celui-ci l'aide à revetir sa si lourde et magnifique armure. Levant les bras, il laissa son humble valet lui placer son armure, nouer les lacets de cuirs. Celle-ci était lourde certe mais offrait une grande sécurité et duc et quel prestence avait-il là ! De ses mains il prit son épée et regarda sa magnifique lame. Il la fit tournoyée de quelques gestes dans le vide afin de la rangée dans son fourreau.
Sortant de sa tente, il se dirigea vers sa haute monture puis prit le bouclier sur lequel brillait de mille feu les armoiries du royaume de Pologne que lui tendait un second valet. Puis son casque qu'il garda sous son bras gauche tenant l'animal de sa sol main droite.

Avancant lentement il rejoignit ses barons qui l'attendait. Devant lui, les armées avaient été rassembler et attendant fierement les paroles de leur seigneur. Mais avant tout discour du duc, ce fut le grand pretre et les nombreux éveques présent qui agirent. Passant au milieux des rangs ennemis ils bénissaient les hommes et priaient pour leur victoire. Enfin, une grande prière collective fut faite, prière dont les chants furent entendu jusqu'à Assanis.
Puis le duc interpella ses troupes, les exortants à combattre au nom de Dieu et du Christ, de chasser ces paiens immondes des terres chrétiennes. Les troupes répondirent alors toutes en coeur au duc par un puissant cris.



Depuis Assanis, Siemovit observait l'horizon. A ses cotés le roi de Sasnie, Tomasz comte venant de Grande Pologne ainsi que Boleslas de Grande Pologne. Tous ne songeaient qu'à une chose, le siège Assanis qui durait depuis déjà 3 saisons. Grace à leur décision, à leur foi inflexible et à la volonté divine, la cité avait tenu. Mais la situation était à présent vite devenu insupportable et tous n'attendait qu'une chose, un signe montrant une attaque des troupes polonaises afin de l'étau soit brisé.

Un vent froid soufflait alors sur Assanis en direction de la ville lorsque des murmures polonais purent etre entendu depuis la cité. De leurs camps, ceux-ci entonnaient de puissants chants chrétiens. Cette musique berça alors le coeur des hommes de cité. Puis avant que les chants ne s'arrete, le chant de l'Apocalypse put etre entendu; Cela n'était guère une léturgie habituelle ce qui marqua profondément le jeune Prince ainsi que tous les autres seigneurs polonais d'ailleurs.
Puis cela fut soudainement clair dans l'esprit de Siemovit. Il en appella alors aux barons afin que les troupes soient rassemblées. Une sortie allait etre effectuée.

Partout dans Assanis on pouvait voir des hommes arme courrirent dans tous les sens alors que les civils allaient trouver refuges dans leurs demeures ou dans l'église. Les troupes n'étaient pas encore pretes à pouvoir répondre à l'assaut mazovien de manière efficace, ce qui expliqué cette agitation et se désordre. Des hommes cherchaient leurs armes, d'autres leurs casques , les archers partaient à la recherche de flèches supplémentaires.
On prepara rapidement less quelques machines de siège installées en ville bien qu'on savait que leur portée n'était pas suffisante, Siemovit pensait pouvoir impresionner l'ennemi le temps venu par un déluge et pierre et de projectile en tout genre.

Sur le porche de l'eglise, l'eveque acceuillait tous ceux qui le souhaitait. Avec une poignée de pieux fidèles il entamait déjà les prières pour la victoire du Christ et de ses fervents dévots. Parmit cette poignée d'homme se trouvait Siemovit ainsi que les barons de Pologne et une partie des chevaliers de l'Ordre de l'Aigle Blanc.
Car alors que les soldats s'agitaient pour se préparer hativement au combat, hommes d'expériences et sages était pret à combattre à peine l'ordre fut-il donné.
C'est agenouillé, la tete humblement baissée et mains croisées que Siemovit pria pour la victoire et le triomphe des forces chrétiennes.



Dans le camp de Gadimar le calme règnait. Quelques hommes se réchauffaient ici et là près de grands feux de camp et se contaient des histoires anciennes afin de tenter d'oublier la faim qui rongeait leur corps. Gadimar, siègeant sur son trone méditait. Il était seul et attendait desespérément l'aide de ceux qui viendrait le délivrer.
Lorsque soudain, sans meme se faire annoncé, l'un des généraux du puissant seigneur de guerre fit son entrée. Cela ne manqua pas de surprendre le roi de Natangie qui se leva immédiatement et avant qu'il ait eut le temps d'interpeller cet homme, celui-ci prit la parole:
« Noble gadimar ! L’ennemi semble vouloir attaquer. Il se rassemble.
- Dans ce cas, sonne l’alerte ! Lui répondit le roi. Tout le monde à son poste comme cela a été répété. De chaque coté de nos fortifications, nous devons résister. Nous ne devons pas faiblir, pas maintenant, ce serait un déshonneur que de tomber ainsi. »

Les troupes déjà en place sur les palissades se firent plus attentives. Le siège allait connaître son dénouement. Les armes de sièges, les flèches enflammées, les rats, la faim la soif. Un gagnant sera désigné par les dieux, et ce gagnant devra être le peuple pruthene. Gadimar insista sur le fait qu’il était pris en étau, mais que rien ne garantissait que ce ne soit au tour des polonais dans les heures qui suivent.

L'homme sortit de la tente royale et Gadimar put l'entendre hurler le rassemblement des troupes. Etant déjà revetut de son armée, le roi de Natangie resta quelques instants seul à méditer et à prier les dieux. Le roi ayant aménagé un petit autel sous sa tente, s'agenouilla devant les idoles rerpésentant les principales divinités et leur brula quelques herbes sacré avant de lever les bras aux cieux et de formuler sa prière.
Il supplia alors les dieux de l'assister dans son combat, de foudroyer les chrétiens et de les chasser à jamais de Prusse.

Puis sortant de ses quartiers, le roi vit ses hommes en arme qui attendaient ses première directives. Celles-ci étaient pretes et désireuses d'en finir.
Se présentant face à eux des pretres entamèrent de faire des sacrifices aux dieux et malgré la faim qui rongeait les hommes ceux-ci acclamèrent cette décision, car une victoire ne peut etre sans l'accord et la volonté des dieux. Puis Gadimar s'adressa à ses hommes leur rappellant la force de son armée et de chacun de ses soldats qui avaient vaincu les chrétiens à tant de reprise. Et aujourd'hui ils renoueraient tous avec ces exploits au court d'une bataille épique que tous raconteront et chanteront dans les villages de toute la Prusse.
L'armée répondit alors au roi par un puissant cris et bien vite la faim fut oubliée. Gadimar depuis ses murs contempla le camp chrétien et l'horizon. Malheureusement aucune armée ne semblait pointé pour le moment, mais il ne perdait pas espoir. Judicieusement et y ayant réfléchis depuis déjà fort longtems, le roi placa ses hommes afin de pouvoir combattre le camp polonais ainsi que les garnisons d'Assanis si celles-ci venaient à sortir. Une fois cela fait, il tourna son regard vers le camp polonais dont il pouvait voir en sortir de puissants rochers.



L'ingénieur regardait sa cible, le camp paien, puis donna l'ordre. Un puissante roche monta alors dans les cieux avant de s'écraser au plein de coeur de la cible. D'un geste de la tete, l'ingénieur qui avait au visage une large ballafre, acquiessa. Puis il donna ordre d'envoyer les derniers projectils qui leur restait. Cela faisait plus de 35h que les machines ne cesser de tirer leurs terribles pierres et le camp paien était percé en bien des endroits.

Puis l'enfer déclenché par les terribles armes cessa. Depuis son camp, Gadimar savait que cela signifiait l'assaut imminent des troupes, il prit donc ses positions. Leva son épée au ciel et invoqua la force et Perkunas le victorieux avant de lancer un puissant cri en direction des forces polonaises qui entamaient la sortie de leur camp.
Depuis sa monture le duc Conrad supervisait tout cela et une fois les tetes des colonnes en place il lança d'un puissant cris "Deus lo Veult!" Ceux à quoi lui répondirent chacun de ces hommes par cette meme phrase. Puis la colonne se mit en marche.

De leurs positions les forces de Gadimar firent feu et nombreux furent les volontaires et l'infanterie légère en tete de colonne à tomber sans le moindre combat. Les chevaliers et autres hommes plus lourdement armés purent entreprendre leur marche sous le couvert de leur lourd bouclier. Le duc Conrad lui meme, au coeur de ses forces dus arreter deux projectils grace à son bouclier.
Profitant des trous dans les palissades fait par les engins de siège, les forces de polonaises visèrent en priorité ceux-ci pour pouvoir faire une première entrée dans le camp paien.

Inquiet Gadimar scrupta l'horizon et aucune force n'était présente, ou était donc passés les armées qui devaient lui portés secour ? En revanche, alors que les premières lignes polonaises s'appretaient à s'entrechoquer avec ses forces, le roi, regardant vers Assanins put voir les hommes la cité en sortir.
Ce fut avec un certain retard, qu'enfin, les forces polonaises et sasnienne d'Assanis sortièrent. Le Roi s'attendait à cela et l'avait d'ailleurs prévue, en revanche l'absence de l'armée de secour tant attendu l'inquiété au plus au point.

Siemovit organisait en personne la sortie de ses troupes en tete les chevaliers de l'Ordre de l'Aigle Blanc, qui bien que ne disposant plus de leurs montures s'appretaient à combattre à pied, comme d'ailleurs tous les cavaliers et chevaliers. Lentement les armées firent marche vers les positions de Gadimar. Le combat sur les deux fronts s'appretait à débuter.

Le duc Conrad était au coeur du combat, afin de retarder l'entrée des chrétiens dans leur camp, les forces de Gadimar entreprirent une première sortie. Le combat était rude et chaque mètre était bataillé sévèrement. Parant, frappant, se protégeant à l'aide de bouclier, allant de coups d'estocs en coups de taille, le duc Conrad sortie une energie fulgurante. Depuis leurs palissades, les paiens jetaient moults projtectils, huile bouillante, pierre, lance.
Depuis les murs Gadimar participait d'ailleurs activement à la défense. Repèrant les nobles et officiers polonais d'importance, il empoigna une lance. L'homme visait ne fut pas touché mais sa monture en revanche oui. Les nobles et barons polonais voyant cela se précipitèrent alors pour protèger cette homme qui n'était autre que le duc Conrad en personne qui à présent était jeter au seul.
Malgré tout, celui-ci souhaita poursuivre le combat et ce alors qu'on lui conseilla de reculer et de se rendre au campement. Mais homme tetut et fier, le duc chargea de plus belle ce qui en manqua pas de galvaniser la force de ses hommes.

Sur le front d'Assanis le combat était fort rude, malgré leur bravoure et leur valeur ceux-ci avaient des difficultés à percer les défenses de Gadimar. Ses positions étaient solides et les pertes étaient nombreuses. Un belier de fortune permit de faire une légère entrée dans le camp, entrée qui fut très vite contenu par le force paienne. C'était à présent chose faite, le combat se déroulait sur deux fronts et à l'horizon il ne distinguait pas la moindre armée.

Puis soudainement, sortant des forets, les forces du Grand Pretre firent leur apparition. Avec elles, les unités qui étaient parvenus à échapper à l'étau polonais il y a plusieurs semaines de cela. Celle-ci, le coeur pure et pieux fondèrent de manière désordonnée droit sur les positions chrétiennes. Mais leur ardeur fut bien vite ralentie. Le Duc Conrad homme sage et d'expérience avait prévue cette arrivée et de nombreux cavaliers et fiers chevaliers de Mazovie et de Grande Pologne chargèrent et heurtèrent de plein fouet les troupes si bonnes et volontaires du grand pretre. Mais un homme au coeur pure ne parvint pas toujours à résister à la charge impitoyable d'un chevaliers lourdement armé et protégé.
Les forces furent ballayées et depuis sa position le roi ne pus qu'assister désemparer à cette vérité, les troupes sasniennes avaient été une fois de plus défaites, écrasées par l'impitoyable charge polonaise. Mais où donc étaient Sasniens et Galindiens?

La situation de Gadimar n'était guère enviable, car bien que vers Assanis les chrétiens n'avancaient pas d'un pas, du coté mazovien le combat était bien plus rude. Et Gadimar dus se contraindre à préparer une retraite dans son camp pour resister plus longtemps. Le Roi avait besoin de temps, il fallait tenir le temps de l'arrivée des troupes sambino-galindiennes, troupes qui restaient toujours absentes à l'horizon.
Alors que ses troupes bataillaient encore sévèrement à l'exterieur de son camp il entreprit de préparer l'entrée et chrétien dans celui-ci et replia une partie de ses forces. Il reservait encore des forces puissantes à ses ennemis et dans une vocifération il maudia le duc de Mazovie.

Puis un Gadimar reprit espoir, ses forces au Nord parvenaient à dépasser les armées du jeune Siemovit. Celui-ci face à ses pertes, sonna la retraite. Mais cela n'était pas du gout de tous. Tomasz qui ne s'estimait pas encore vaincu désobeissa au ordre du prince et poursuivit le combat. Il hurla aux hommes l'entourant et faire de meme, et nombre de grand polonais restèrent pour assister le duc dans son combat au nom de Dieu. Il n'était pous lui pas question de reculer face aux armées paiennes. Cependant, vite débordé, il dut reconnaitre son erreur et se replia vers Assanis avec une poignée d'homme.
Libéré de cette charge, le roi Gadimar entreprit de renforcer son front le plus en difficulté. La bataille prenait un autre tournant il pouvait etre victorieux, cela était certain, mais pour cela il fallait que les Sambiens et Galindiens fassent leur apparition au plus vite.
Malheureusement cela ne se fit pas et obligea le roi a mettre en place son plan de replit. Il fit donc regagner le camp à ses forces alors que les Polonais, plein d'ardeur les pourchassèrent jusqu'à derrière les remparts brisés, circulant au milieux des corps transpercés de flèches et de carreaux.

Le combat battait son plein, mais dans le camp, la cavalerie polonaise parvint à faire une percée, perçée qui marqua le début du boulversement des forces. Les forces de Gadimar épuisaient commencèrent à lacher de plus en plus de terrain. Sans repliant sans cesse plus profondement dans le camp.
Gadimar était à présent a centre de l'action. Empoignant Armé d'une puissante hache à deux mains il courrut vers le front. D'un geste redoutable il faisait tournoyer autour de sa tete sa lourde arme et décapita moults ennemis. Face à son courage et à sa bravoure, de nombreux Naruviens, Pogésanien, Warmiens, et biensur Natangien reprirent courage et redoublèrent d'ardeur. A chaque pas qu'il faisait, à chaque tete qu'il tranchait, le roi de Natangie chantait un vers supplémentaire des chansons contant la grandeur et la puissance de Perkunas. Bien vite, il ne fut pas seul à scander ces vers en combattant. Entouré de se fidèles barons et de sa haute noblesse ainsi que de celle des autres tributs pruthènes ayant prit part à sa campagne, il avança.
Le coeur courageux et déterminé il parvint à avancer. Mais cela ne fut guère suffisant pour stopper les forces chrétiennes qui déployèrent de nouvelles troupes jusque là insoupçonné. Face au nombre écrasant, bien vite, Gadimar se trouva encerclé avec nombre des grands barons de toute la Prusse. Bien vite, les coups de Gadimar furent bloqués par des boucliers et alors nombreux furent ceux à etre fait prisonnier. Recevant un coups à la tete, le roi de Natangie fut fait prisonnier et à la suite de cela ce fut une débacle totale pour les armées de Gadimar qui trouvèrent refuge dans les forets avoisinante, forçant le blocus polonais.

Conrad rejoignit alors celui que tous montraient comme le roi de Natangie, Gadimar le fleau chrétien était inconscient. Le duc le fit donc transporté vers Assanis qui pourrait bientot feter la victoire.
Mais la pause fut de courte durée, car les armées de Sambie et de Galindie, tant attendus firent enfin leur apparition, mais bien trop tard. Cependant elles comptaient bien en découdre dès à présent.



Lorsque le duc Conrad regarda l'horizon, il vit ce que Gadimar attendait tant, la vague de Galindie et de Sambie était présente et avancée vers ses positions. Le duc ne perdit pas la moindre minute, alors que déjà des soldats levés les bras au ciel louant le nom de dieu et le remerciant pour cette victoire. Le duc sonna le rassemblement en l'olifant. Le puissant son retentit alors dans tout le champs de bataille.
Les soldats surpris mais disciplinés obeir et commencèrent à reformer les rangs. Jusqu'au moment où ils apercurent les forces paiennes fondant sur eux. Ils comprirent alors bien vite que le combat n'était pas finit. Le duc s'adressa à ses troupes rassembla et leur vanta la dernière marche qu'il restait à franchir, le dernier obstacle à la victoire du Christ en ces terres.

Les deux armées avancèrent l'une vers l'autres, et malgré le combat qu'elles venaient de livrer les troupes polonaises, bien qu'épuisaient marchées d'un pas déterminé vers les hordes paiennes.
Sur l'aile gauche se trouvait les troupes sambienne et au centre et sur l'aile droite les troupes galindiennes. Conscient qu'ils arrivaient trop tard pour sauver Gadimar ils entreprirent alors de combattre fierement pour l'honneur et la gloire.
Les cavaliers et chevaliers polonais commencèrent à s'élancer sur l'aile gauche et droite. Mais les Sambiens et Galindiens, guerriers habiles et ayant fréquentés ou combattus de nombreux chrétiens ils serrèrent leurs rangs et s'appretèrent à recevoir la vague paienne. Les vougiers en première ligne tenaient fermement leur lance. Les cavaliers vinrent alors s'empaler sur les piques et percèrent malgré tout une légère breche avant que l'infanterie polonaise ne vienne extenuée après une courte course percuter les armées paiennes.
Mais les troupes sambiennes et galindiennes, au meilleur de leur forme et de leur force redoublèrent d'acharnement et les si puissants soldats et chevaliers polonais furent vite écrasés sous la puissance de ces deux armées. Face à une défaite qui sembla vite inévitable, on ordonna la retraire. L'infanterie légère sambienne, si réputée, s'élança alors à la poursuite des fuillards et fuirent nombre de mort. De meme les Galindiens dépecherent leur cavalerie légère afin d'harceler l'infanterie polonaises en fuite.
Ce fut à Assanis que les chrétiens trouvèrent une nouvelle fois refuge avec leurs armées. Mais alors que l'on aurait pu penser que les armées Galindiennes mettent le siège à la cité, les Galindiens, fort de leur victoire disparurent vers le Nord, empruntant la route de Liwto, alors que les Sambiens disparurent quand à eux dans les sombres forets sasniennes.

La nuit tombée, la fete n'était qu'à moitié présente dans le coeur des hommes de pologne. Toutefois, pour l'heure la ville connaissait la liberté et pu débuter de faire le plein en vivre, profitant des nombreuses victuailles que le duc Conrad avait fait parvenir de Mazovie lorsqu'il avait débuté le siège des forces de Gadimar.
Une autre quesiton se posait, qu'allait-il advenir des nobles pruthènes ainsi que du si renomée Gadimar ? En ce jour prise des chrétiens ?



(Hj: Bon je m'excuse par rapport à l'heure que j'avais prédit, mais il fut relativement plus long à écrire que je ne le pensais.
Et c'est ainsi que s'achève donc une bataille relativement épique.
Une nouvelle donnée va devoir etre gérer à présent par vous autre. Que faire des prisonniers ? Les relachés, les executés, les rançonnés ? Les prisonniers qui ont d'ailleurs une place importante dans le monde médiévale, surtout dans le contexte des croisades. Je tiens à remercier au passage le roi Gadimar pour avoir écris une partie de ce RP que vous serez sans doute reconnaitre.)


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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMar 30 Nov - 22:36


Les Pruthènes étaient victorieux !

Menés par leur Roi, les Sambiens avaient déferlés sur les troupes polonaises épuisées et leur avaient causé de lourdes pertes.

Plus encore, la poursuite menée par des troupes légères et fraîches jusqu'aux portes de la ville avait permis de capturer moult prisonniers, nobles démontes, gens d'armes ou autres fantassins ainsi que des bagages du camp.

les membres d'ordres religieux ainsi que les prêtres ou les apostats Sasniens pris avaient été immédiatement executés, restaient tous les autres, plusieurs centaines d'hommes, amas d'humain vaincus, ou le baron à la riche armure côtoie le paysan mal équipe.

Le Roi de Sambie choisit alors le plus vieux des fantassins, presqu'un viellard, edenté et usé par les combats et lui dit ceci :

Mes hommes vont te mener aux portes de la ville ou se terre les tiens !

Que les prisonniers faits par les vôtres, y compris le Roi Gadimar soient libérés !

Ce contre quoi, nous libererons de même tous les notres !

Sinon, ... A ces mots, le Roi désigna la foule de prisonniers assemblée

Sinon, donc, dans une heure, le pal percera tous ces culs polonais, celui du plus haut baron comme du plus humble fantassin .. on verra bien d'ailleurs que c'est la même merde qui en sortira !

Tes chefs expliqueront a leurs familles qu'ils refusèrent de les rançonner, qu'ils manquèrent délibérément au premier devoir d'un suzerain .. je doute qu'en avoir fait des martyrs forcés les consolera beaucoup !

Mais cela peut aussi se régler dans l'honneur ... a eux de voir !


Dis leur qu'ils ont une heure pour choisir !



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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMar 30 Nov - 23:10

A Perkunas, roi de Sambie.

Noble sire,

Tes héraults clament ta victoire ! Piperie que ceci !
Qui reste mestres du champ de bataille ? Qui restent mestre de la cité ? Les armées très chrestiennes de Pologne que j'ai l'honneur de mener.
Qui à abandonné le champ d'honneur en refluant vers le nord, tel le pillard qui, surgissant par surprise, frappe comme le loup et fuit comme le lièvre ? Toi Roi Perkunas. Toi et tes hordes paiennes...

Mais laissons cela. Tout le monde chrestien saura quelle victoire les guerriers de Pologne ont remportés en mettant fin aux agissements du fléau des chrestiens et en repoussant les hordes insanes surgies des profondeurs abyssalles des noires forêts.

Tu parles d'honneur. Voila qui est chié chanté ! Sâches que noste honneur point ne se trouve en ces "culs polonais" que tu veux percer, mais bien en le coeur de nos guerriers. Et moi, Konrad, Duc de Mazovie aurait bien vergogne à barguigner avec toi sur ce point.
J'accepte, comme est mon devoir de suzerain, de racheter mes vassaux, mais point de les échanger sous ton odieux chantage.
Rachat il y aura donc si tu y accèdes. Et martyr pour les malheureux se fera si tu tiens ton odieuse promesse. Mais sâches que nul, présent sur les murs d'Assanins n'oubliera cela et n'aura de cesse de t'assigner au tribunal de Dieu.

Konrad Mazowiecki Piasts, Duc de Mazovie.
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMar 30 Nov - 23:16


Les maitres du champ de bataille ne sont pas ceux qui ont fuis en déroute jusqu'aux remparts de leur cité !


les maitres du champs de bataille ne sont pas ces prisonniers sans nombre qui se sont rendus a nous, pensant que tu accepterai de les échanger !,


les maitres du champs de bataille, ca ne sont pas les seigneurs couards qui se terrent derrière une muraille en refusant d'échanger leurs vassaux prisonniers.


Tu refuses l'échange, soit !


leur sang restera sur tes mains et éternelle sera ta honte !

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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMar 30 Nov - 23:26

Moi, Boleslas l'épée de Grande-Pologne propose à sire Perkunas l'empaleur copronyme une négociation.

Je suis Polonais, et jamais torture ou mauvais traitement ne fut appliqué de mon fait contre chrétiens ou Païens, jamais !

Que les Païens d'Assanis, ayant résidé en cette ville avec nos frères chrétiens de Sasnie en témoigne.

Ils peuvent venir à toi et témoigner. Ils peuvent venir à toi et te proposer rançon.

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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMar 30 Nov - 23:32



le sang coulait le long des pieux sacrés ... Les polonais étaient morts dans d atroces souffrances...


Ils n'étaient morts que parce que leurs seigneurs refusaient de les rançoncer vie contre vie !


Les polonais avait tergiversé, palabré et laissé mourir leurs vassaux, des vassaux qu'ils auraient pu sauver d'un seul mot.



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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMar 30 Nov - 23:36

Pourquoi Perkunas as-tu refusé de recevoir tes frères en religion pour recevoir la rançon ? ! Es-tu en adepte du démon si avide de sang et de meurtres !

Boleslas jeta de l'or du haut de la muraille.

Tu n'avais qu'à tendre les mains. Tu as préféré à l'honneur et à la richesse la mort et la honte, tu ne seras désormais plus nommé que Perkunas l'empaleur copronyme, "au nom de merde".
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMar 30 Nov - 23:39




le pleutre qui brame du haut des remparts croit que la vie s achète avec de l or ..

pour les fiers pruthenes, seule la vie paie pour la vie !


mais si les polonais ne sont que vils marchands, nous sommes prêts a leur racheter leurs prisonniers, nous leur donneront cet or qu'ils placent plus haut que la vie de leurs frères !

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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMer 1 Déc - 0:15

La nuit pointait déja et l'horizon était fort bas. Le ciel lourd et sombre.

Le Duc Konrad, vint sur la muraille. A côté de Boleslas, l'Epée de Grande Pologne. Sa voie puissante traversa la nuit comme un ouragan :

"Kopronymus ! Tu n'as point voulu de nostre or ! Nous te baillerons de nostre fer ! Je t'assignes au tribunal de Dieu pour y expier tes fautes !
Moi Konrad, j'en fais serment. Sur le sang de nos martyrs, j'occirais la démoniaque engeance qui se terre sous tes traits ! "
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMer 1 Déc - 0:22



Ces martyrs.; tu les a fait toi même !


Un mot de toi et ils étaient libres !



Pour le reste, tu brailles fort derrière tes remparts mais tu a laisser crever tes hommes comme un chien plutôt que d'oser sortir ou d accepter un échange de prisonniers !

tu te veux un aigle mais tu n est qu'un oisillon !, un oisillon qui s égosille sans oser sortir de son nid, un oisillon sans honneur qui laisse crever ses féaux jurés !

Tu as voulu finasser plutôt que de respecter les usages de guerres ...Alors ne t'en prend qu'a toi même !

c est ton choix ..









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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMer 1 Déc - 0:32

"C'est ton choix" dit le meurtrier aux mains couvertes de sang et d'immondices.

Mais l'écho de ces paroles se perdirent... Les païens d'Assanis rentrèrent en leur demeure, les yeux rougis de honte. Les chrétiens ne leur jetèrent pas un regard, ils étaient tournés vers Dieu et son horizon de paix et de bonté.

Longtemps encore, Perkunas Copronyme injuria les murailles, s'agitant au milieu des mouches dévorant les corps des hommes dont il avait ordonné l'assassinat.

"C'est votre faute, votre faute..." braillait-il sous les regards vides des cadavres et de Dieu.
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMer 1 Déc - 0:38




tel était du moins l image qu'aurait voulu construire le lâche oisillon polonais

le seigneur félon qui ne rançonne pas ses hommes !

le couard qui brame du haut des remparts

le marchand qui finasse et propose de l or la ou il n'est question que de vie et d honneur ..



Tous savent désormais ce que vaux la parole de Konrad

Les familles des morts savent que leur seigneur les a trahis !

Les vassaux et soldats de Pologne savent désormais que leur seigneur ne les sauvera point, qu'il refusera de les échanger et restera a dégoiser du haut de ses remparts !


Couard et Félon , c'est ainsi désormais que tous voient l oisillon de Pologne !
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMer 1 Déc - 0:41

(HJ/ Petite paranthèse de ma part, en effet, un petite erreur qui peut avoir son importante, les Galindiens n'ont pas pris la route d'Assanis mais de Liwto.)

Citation :
Ce fut à Assanis que les chrétiens trouvèrent une nouvelle fois refuge avec leurs armées. Mais alors que l'on aurait pu penser que les armées Galindiennes mettent le siège à la cité, les Galindiens, fort de leur victoire disparurent vers le Nord, empruntant la route de Liwto, alors que les Sambiens disparurent quand à eux dans les sombres forets sasniennes.
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMer 1 Déc - 1:54

Pries tes dieux paiens Kopronymus, pour ne point savoir trop prestement ce que vaux ma parolé ! Car je t'ai promis assignation au tribunal de Dieu et assignation tu auras...
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMer 1 Déc - 2:03



Tes vassaux savent désormais ce que vaux ta parole ...!


Nul ne doute que tu chercheras a te venger, car nul ne doute que tu sois furieux de voir ta vilenie révélée, ta félonie affichée aux yeux de tous !

mais cela ne m importe peu ... mieux vaut mourir proprement que de vivre dans la lâcheté et le déshonneur

Je leguerai a mes enfants un nom propre et pur et non un nom souillé par la félonie envers mes féaux !
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMer 1 Déc - 22:55

Le Hérault du Duc Konrad fit avancer son palefroi sous le rideau d'arbres chargés de neige. Il savait que les guetteurs de l'arrière garde de Perkunas s'y dissimulait.
En effet, un javelot fila vers lui dans un feulement quasi silencieux. Le Hérault n'en attendait pas moins de ses barbares ! Prestement , de son écu il dévia le trait. Puis, brandissant bien haut l'étendard de la Mazovie, il déclama, en pruthène et d'une voie de stentor, sa harangue.

"Le Duc Konrad Ier Mazowiecki Piast, Duc de Mazovie, las des atteintes à son honneur et des éhontées menteries du roi Perkunas assigne icelui au Jugement de Dieu.
Si le roi Perkunas est aussi pourvu de vaillantise que bien fendu de gueule, qu'il vienne répondre au défi que le Duc Konrad le prie de relever.
L'ordalie se déroulera selon les règles de la chevalerie. Mais par égard pour son adversaire, le Duc Konrad accepte que le combat se déroule à pied ou à cheval, armuré ou non et avec quelque arme qu'il plaise au roi Perkunas.

Le Duc Konrad sera présent, après sept jours de jeûn et de prières, en cette même plaine qui s'étend aux confins de la Sasnie.
Il y attendra le roi Perkunas pour s'en remettre au jugement de Dieu !

Ainsi soit il !"


Puis, non sans craindre quelque traîtrise, le Hérault mazovien fit volter son palefroi.

Le gant était jeté ! Perkunas aurait il la hardiesse de le ramasser ?...
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeMer 1 Déc - 23:09



L'homme flamboyait dans la lumière de l'été. Son écu et sa côte de maille renvoyaient les reflets du soleil. Le héraut parla lui aussi en pruthène, à l'endroit où quelques instants plus tôt s'était tenu l'envoyé mazovien.


"Le grand-maître Boleslas de Grande-Pologne formule icelle demande à Perkunas aux mêmes conditions. Qu'il sache que l'honneur exige ce combat avec lui-même ou un champion, s'il préférait combattre uniquement avec le duc Konrad de Mazovie.

Que la volonté de Dieu s'accomplisse !

Amen
"

Le héraut poznanien reparti les yeux brillants dans la lumière d'été.
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeJeu 2 Déc - 0:19



Les fiers Sambiens ouirent avec surprise la harangue polonaise balbutiée dans un pruthene trrrrres hésitant


-----


"Le Duc konrakjlgajhgaz, las des etreintes à son bonheur et des méritées vanteries du roi Perkunas bassine celui cii au Jugement du Pieu (ndt ; sans doute une allusion au sort auquel il a voué ses vassaux)

Si le roi Perkunas est osé bien fourbu de ces bétises que (ndt : intraduisible.; il semble penser que nostre Roi se fend la gueule) , qu'il vienne se repaître des délits que le Duc Konrad prie à son lever.


l ordre d'Ali (ndt : sans doute un souvenir des croisades, ils ont des moeurs étranges) s'enroulera selon les rêves de la chèvre à Ali

Mais par mégarde pour son anniversaire, le Duc Konrad accepte que le contact se défoule à pied sur un cheval, a Remuré (ndt : cette ville ne figure pas sur nos cartes) au nom et avec quelques larmes qu il plaise à Perkunas (ndt : cette formule de Prière a notre dieu résonne éstrangement en la bouche de ce chestrien)


Le Duc Konrad sera décent après sept fours de jeunes (ndt : sans doute de jeunes vierges de celles qu ils violent en les campagnes de Sasnie) et de civieres (ndt : ou ils font leurs affaires avec lesdites vierges probablement) en cette même laine qui s'étend aux cons fins (ndt : un language de polonais que cela) à la Sambie


Il y attendra de reconnaitre Perkunas comme le seul Vrai Dieu

Ansi soit il


----


Après moult hesitation, les pruthenes finirent tout de même par déméler le sens de ce galimatias .. et le Roi se prépara à répondre !
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeJeu 2 Déc - 0:26



Et telle fut la réponse sambienne !


---------

Ne peut défier ainsi que qui à de l'honneur !

Ne peut être combattu ainsi que qui a de l'honneur !


Mais ne prend pas cela pour un refus car voici ce que te propose Perkunas !

Regagne ton honneur !

Libère tes prisonniers, Gadimar compris,

Quand à moi, pour tes morts, je paierai le wergeld, la juste compensation aux familles de tes vassaux et a toi même comme le prescrivent les Lois !


Alors, nous pourrons nous affronter dans l honneur !


Je viendrai au lieu de ton choix, fut ce en Mazovie, et nous nous battrons a pied, une seule épée dans une main et notre seule valeur comme armure afin que ce ne soit pas le duel d'un cheval contre un cheval, d'un forgeron contre un forgeron mais celui d'un Roi contre un Roi !

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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeJeu 2 Déc - 1:06



Puis, le Roi se rembrunit à la demande de Ladislas ..



- un duel d'honneur n'est pas une farce.. le Roi ne combattra que le Duc, ou toi même s'il te choisit pour champion !

Imagines tu que je fasse défier Konrad par une demi douzaine de mes alliés dans la foulée du premier combat ?

Ou serait l honneur ?

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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeJeu 2 Déc - 1:07

Le fils du duc combattra en son nom !
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeJeu 2 Déc - 1:23



étranges coutumes polonaise..

le duc Konrad vient me defier puis m envoie un de ses vassaux pour me redefier au cas ou je devrai gagner le combat

et mainteant ce vassal m apprend que c'est le fils du Duc que je devrai combattre et non le Duc lui même, un Duc qui avait pourtant porté lui même son défi ..

Chez nous les choses sont plus simples !

Liberez déjà vos prisonniers et dites moi le montant du Wergeld que fixe vos coutumes, je moyennerai avec celui que fixe les notres et viendrait avec cette somme !

Ensuite, vous m expliquerez vos subtiles coutumes de défis, sous défis et remplaçants de défi qui, je vous le confesse, m échappe grandement ! Et enfin, je combattrai qui le Duc désignera s'il ne se juge pas en état de combattre, quand bien même a t il porté son défi lui même, mais a condition que l adversaire ne soit pas sans honneur !
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeJeu 2 Déc - 1:28

Boleslas défie Perkunas copronyme pour le sang versé dans la honte et en dehors de toutes lois et égards humains.

Le duc Konrad agit en son nom, pour la Mazovie.

Boleslas de Grande-Pologne, fils du duc de Grande-Pologne te défie au nom de la Grande-Pologne.

Puis Boleslas se demanda si ce roi qui ne savait pas même le nom et le lignage de ceux qui avait combattu ses armées trouveraient le chemin du combat, à défaut du chemin de l'honneur...
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitimeJeu 2 Déc - 1:35



Ecoute gamin !

Si un jour tu veux défier quelqu'un, commence par ne pas l injurier !

Essaie de faire entrer dans ta petite cervelle qu'en agissant ainsi, tu salis le combat que tu prétend livrer et tu te salis toi même !

ce genre de combat ,ne se livre qu'entres adversaires honorables.. pas avec un saltimbanque de ton espèce, toi qui vient défier en second, l injure a la bouche, comme pour une bagarre de taverne !


Mais sans doute ces insultes ont pour seul but d"éviter que le combat ne se fasse afin de masquer ta couardise !
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MessageSujet: Re: Printemps 1239 - Siège d'Assanis   Printemps 1239 - Siège d'Assanis Icon_minitime

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