Guerre et Conversion: Baltica
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Guerre et Conversion: Baltica

Gestion, guerre, diplomatie, commerce, il est dur d'etre un souverain compétent. En serez-vous capable ? Incarnez un chef de tribu, maitre, prince ou souverain d'une des factions disponnibles dans une Europe du Nord tourmentée.
 
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 Le triomphe de la Croix

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Le Troubadour
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MessageSujet: Le triomphe de la Croix   Le triomphe de la Croix Icon_minitimeLun 9 Aoû - 11:46

Le triomphe de la Croix - le Culmerland et le rassemblement des troupes


La nuit venait à peine de tomber, le soleil se couchait, seul la lune éclairait alors le Culmerland. Cela faisait plusieurs saisons que la possession teutonique était en effervescence. En effet, venant de toute l'Europe de l'Est, principalement de l'Empire, de Hongrie et de Pologne, des hommes pieux et valeureux prenaient la Croix et marchaient vers la Prusse décidés à imposer la sainte croix sur cette terre, dernière terre paienne d'Europe.
Il était alors du devoir des chrétiens de faire connaitre le bonheur et la plénitude de la Sainte Parole du Christ à ces peuples. Mais ces derniers inspirés par Le Malin l'avait rejeté à moults reprises. C'est ainsi que les Chrétiens soucieux du salut de leurs ames se rendirent en Prusse afin d'imposer par la force la Croix.

Hermann Baalk, le Maitre de Prusse, ne s'attendait pas à une telle réponse à l'appel du Saint Père. Sortant de sa tente il observa le campement devant lui. Jusqu'à perte de vue s'étendaient la lueur des feux de camp. Le maitre eut alors un sourire. Puis sortant sa lourde épée il la planta au sol et s'agenouillant il implora Dieu, lui demandant son aide et la victoire. C'était une lourde charge qu'on lui confiait là et il ne comptait pas échouer, mais sans l'aide de Dieu la plus sure des batailles peut etre un désastre et en homme de foi et experience Baalk le savait.
Sortant de la tente de commandement Henri le Barbus, le puissant duc de Silésie, l'un des hommes les plus influent du Royaume de Pologne fit son apparition. Il alla rejoindre maitre Baalk, ce dernier toujours agenouillé, en prière. Puis le maitre se releva lentement, portant la si lourde armure qu'il ne quittait jamais.
Henri, lui, jubilait. Il était alors le seul duc polonais à avoir rejoins la croisade, le seul à prouver sa foi, le seul à combattre pour le Christ, ou le seul à avoir des mesfaits à se faire pardonner. Quoi qu'il en soit, il était présent et n'était pas venu seul. Celui-ci avait en effet levé une grande armée pour l'accompagner dans cette sainte campagne.

A l'entrée Est du campement une agitation se fit entendre. de nouveaux arrivants se joignaient à la croisade. La haute noblesse de Pologne avait rejoint les forces croisées. C'est ainsi qu'on vit l'arrivée de Boleslas de Grande Pologne, fils du duc Ladislas, accompagné par une escorte de lourds chevaliers et de médecins, de moines, de savants... autant d'hommes nécéssaire au bon déroulement d'une campagne.
Mais ce n'était pas tout, puisque Boleslas de Mazovie, fils du duc Conrad, avait lui aussi rejoint l'Ost de Prusse ayant fait la route avec le fils du duc de Grande Pologne. Boleslas de Mazovie était quand à lui accompagné de deux nobles important du duché, Stefan de Lowicz et Macej de Czersk, tous deux s'étend déplacés avec leurs armées respectives.
Henri de Silésie n'est donc plus seul. Les fils de ses deux principaux rivals à la couronne de la Pologne étaient désormais présent et représentés dorénavant leurs duchés.

Boleslas de Mazovie, Boleslas de Grande Pologne, Stefan de Lowicz et Macej de Czersk firent alors route vers la tente de commandement afin de se présenter au Maitre de Prusse puisque c'était lui le commandant supreme de cette croisade, la plus haute autorité militaire. Et meme si Henri de Silésie était un homme d'importance il savait qu'il devait respecter un minimum les choix du Maitre.
Lorsque la petite troupe arriva à destination, le sourire fier et narquois d'Henri disparut. Alors qu'Hermann Baalk acceuillait chaleureusement ces nouveaux renforts, qui avaient embrassés la cause du Christ et Dieu, la réaction d'Henri fut tout autre.
Il les regarda et leur lança sèchement:

"Je pensai voir vos pères prendre part à la bataille et non des enfants"

Il est vrai qu'Henri avait une certaine expérience du combat, beaucoup plus que Boleslas de Grande Pologne et Boleslas de Mazovie. Mais ces derniers surpris d'un tel acceuil ne sure que dire et le silence règna un moment. Mais cela était trop pour Macej de Czersk, cet homme sans le moindre égard insulté son souverain, il fit un pas en avant et s'adressa à Henri directement:

"Mon seigneur est trop occupé à rebatir le Royaume que tu t'obstines à vouloir détuire ainsi qu'à honorer le nom du Saint Martyr de Pologne pour le plus grand plaisir de tous les Polanes!"

La conversation entre les deux hommes monta alors d'un ton. Afin de calmer les esprits et en habile diplomate Baalk interrompit la discussion et enmena les jeunes princes accompagnés des comtes dans la tente de commandement afin de leur montrer le plan de bataille qui sera appliqué puisque les opérations et la marche vers les terres paiennes devaient commencaient dès l'aube.
A de nombreuses reprises Baalk dut intervenir afin de calmer les tensions qui n'avaient de cesse d'exploser entre les princes et le duc de Silésie. Ce furent ces tensions qui inquitèrent dans la nuit le Maitre. En effet, il savait qu'une mauvaise coordination et mésente ente entre seigneurs pouvaient porter préjudice à n'importe quelle bataille.

La guerre débutant dès le lendemain, Baalk n'eut pas de repos avant d'avoir prier Dieu, le Christ, la Vierge et les Saints autant de fois qu'il le fallait pour qu'il se sente apaisé. Puis se laissant prendre par le sommeil il ferma les yeux pensif sur les batailles et le sang qui coulera dans les jours à venir...
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MessageSujet: Re: Le triomphe de la Croix   Le triomphe de la Croix Icon_minitimeMar 10 Aoû - 13:11

Le triomphe de la Croix - La chute de la Pomésanie


Cela faisait plusieurs jours que la puissante armée portant la croix en Prusse avancait. Aucune resistance digne de ce nom ne s'était alors présentée et avait entravée la progression de cet Ost ô combien formidable. Tel des fantomes les cavaliers vetus de blanc sortaient des ombres et de la brume et semaient la mort. Rien ne semblait pouvoir les arreter et les Pomésaniens avaient appris à craindre ces hommes à l'arme si tranchante.
Les uns après les autres les villages tombaient face à la terrible machine de guerre chrétienne. Les cris et les pleures laissant vite place au calme silence de la mort. C'est ainsi que dans un excès de ferveur et foi, nombreux furent les villages qui pour avoir résistés à l'arrivée des chrétiens furent selon leur terme "purifiés". Tel fut notament le cas de Gandarus, le premier grand village à tomber sous les coups des épées chrétiennes. Hommes, femmes, enfants, tous furent envoyés à "l'enfer d'où ils venaient" pour reprendre les mots qu'hurler les lieutenants sur le champ de bataille où plus exactement sur le champ de massacre. Car devant de telles forces le petit village ne pouvait tenir.

Lorsque le pieux et noble Guillaume de Modène pénétra dans Gandarus il s'agenouilla et se mit à pleurer. Interpellant le Ciel:

"Les Hommes n'ont-ils pas compris ton message et ta Volonté ?"

Puis baissant la tete il observa le sang dans lequel il baignait.
Guillaume de Modène avait été envoyé par sa Sainteté en personne pour le représenter. Il était le légat du Pape, la seule autorité religieuse valable et fiable pour cette sainte croisade. Et cet homme de stature moyenne qui portait fierement les marques du temps sur son visage n'en était pas à ses débuts. En effet, ce fut déjà lui qui jadis servis de légat pontifical lors de l'installation des chrétiens en Livonie.
En effet, les Teutoniques étaient habitués aux combats et à la guerre en Terre Sainte et il est vrai qu'en ces lointaines contrées lorsqu'une ville était prise, le massacre de ses habitants était une pratique courante. Mais ici, en Prusse, il ne s'agissait pas d'exterminer une hérésie mais de combattre la paganisme, d'imposer la Croix et le Christ à ces ames perdues. Anihiler un peuple ne permet pas de le convertir et de se sauver son ame. Ce fut cela qui révolta Guillaume.
C'est ainsi que d'un pas déterminé il prit la direction de la tente de commandement, entra avec fracas et demanda à tous d'en sortir afin de s'expliquer avec le maitre Baalk. Tous s'executèrent devant la plus haute des autorités religieuses. On dit que durant plusieurs heures ils s'expliquèrent, et qu'à la suite de cet entretien le fier Baalk s'agenouilla et demanda pardon non seulement au légat mais aussi à Dieu et au Christ pour les ames qu'il avait condamné et qui ne sauront trouver le chemin du royaume des Cieux.

C'est ainsi que le comportant des croisés changea du tout au tout. Biensur il y eut quelques débordements, mais les massacres sans raisons étaient évités pour la plus grande satisfaction de Guillaume.

Un à un les villages tombés. Alors que tous pensaient que l'une des rares villes paienne, Grauden, leur tiendrait tete qu'elle ne fut pas la surprise chrétienne lorsqu'il s'apercurent que la ville était pour ainsi dire vide de troupes. Là encore aucune resistance, la croix et sa force était irrésistible. Dieu les accompagnait et terrassait leurs ennemis avant meme les combats pensaient les croisés. Grauden, Aglo, Menso, Dangus, autant de villages important qui tombèrent sans le moindre soucis. Sure d'elle l'armée chrétienne prit la direction de Bakukan, la seule vrai forteresse de Pomésanie. Mais le chemin reliant Dangus à Bakukan était une route particulièrement difficile, étroite, boueuse, escarpée par moment et encombrée d'arbres et de pierres; Baalk maudissait ces barbares qui ne connaissait pas même l'utilité de routes de qualité. Mais il savait aussi qu'un tel lieux était propice aux embuscades, et ce fut dotant plus vrai qu'aucune armée pomésanienne n'avait été pour le moment remarquée.

Et soudain l'homme en tete du cortège fut transpercé par un flèche qui lui traversa la gorge. Lentement il tomba de son cheval, emporté par le poid de son armure. Des hurlements retentir dans la foret. L'armée chrétienne resserra ses rangs, s'abritant derrière ses lourds boucliers. Les flèches n'avaient alors ne cesse de s'abattre sur les lourds boucliers de l'infanterie chrétienne. Les chevaliers et cavaliers, dans une telle situation étaient alors des plus démunis, leur visibilité et leur capacité de mouvement réduite nombreux furent ceux qui perdirent la vie.
Il en fallait davantage pour impressionner le duc de Silésie, levant son bouclier à la tete il bloqua de justesse une troupe. Puis il ordonna de à ses troupes de faire mouvement lentement vers le lieux d'ou les flèches étaient tirés, lui meme avec une poignée de chevaliers prit le route à toute vitesse. Le déplacement des unités les plus lourdes fut difficiles, les troupes les plus légères se cachant elles derrières les arbres centenaires de la foret.
L'intiative du duc de Silésie avait pris au dépourvue une grande partie des forces, et principallement celle de Mazovie et Grande Pologne, face à une telle situation il fallait que les Princes réagissent. Cependant faire cession à l'image du duc de Silésie pour la gloire, mettrait en difficulté le reste de l'armée. Quel choix difficile. Mais rapidement et conjointement les princes décidèrent pour le bien de la croisade de reformer un mur de bouclier afin de protéger la partie de l'armée découverte.
Il arriva alors un moment les tirs s'arretèrent. Le duc de Silésie, bléssé à la cuisse par une flèche, revint alors avec ses troupes. Une partie d'entre elles étaient mortes en ces terres, mais l'embuscade avait été mis en échec. On repprocha à Henri son initiative comme on le féllicita pour son action héroique, car grace à lui un désastre fut évité.
Guillaume eut une pensée pour tous ceux mort au combat, il pria pour eux et pour leur ames. Mais ces morts n'eurent d'autres sépultures que les marais boueux et cette route inhospitalière. En effet, Baalk ne souhaitait pas s'attarder en ce lieux et désirait poursuivre sa route.

Une fois sortis de sa foret, une large pleine dominée, laissant apercevoir la forteresse, l'un des plus puissante forteresse de toute la Prusse à ce que l'on dit. Les croisées plus à leur aise en ce lieux poursuivirent leur marche. C'est alors qu'il virent la grande armée Pomésanienne, certainement dans sa totalité leur faire face. Une grande bataille s'annoncait là.
Un temps clair et dégageait, une plaine permettant des manoeuvres d'envergures, Baalk était confiant.

Levant la croix vers le ciel, Guillaume de Modène, suivit notamment des moines de Grande Pologne, récitait des paroles de l'évangile en passant entre les rangs de l'armée. Les hommes galvanisait se préparer à combattre. De leur coté les Pomésaniens hurlaient des paroles incompréhensibles. A l'Est Henri de Silésie et ses troupes, au centre Hermann Baalk et les puissant teutonique, accompagné du prince de Grande Pologne et à l'Oust le prince de Mazovie accompagné de noble de ce meme duché et de leurs troupes.
La bataille débuta par le sifflement des flèches. Les archers et puissants arbalétriers chrétiens transpercèrent bien des corps, nombreuses furent les pertes pomésanienne. Certains paiens se cachant derrière leurs boucliers ne purent échapper à la mort car face à la volonté du Dieu unique et à la puissance des arbalètes ces derniers ne purent resister et atteignirent leurs porteurs. Alors que les lourds boucliers chrétiens resistèrent quand à eux au choc des flèches.
Les cavaliers et chevaliers chrétiens entrèrent de plein fouet dans la foule paienne exterminant à grand coups de lames ces hommes que leurs dieux ne surent protéger. Puis dans la mélée l'infanterie vint rejoindre la bataille. Les tireurs chrétiens eux se rapprochèrent afin d'atteindre l'arrière garde paienne.
Il tenait à coeur au prince de Mazovie de se démarquer davantage au cour de cette bataille. Surtout vis à vis d'Henri de Silésie. Ainsi le jeune prince s'enfonca dans l'armée paienne escorté de près par Macej et Stefan. Cette action fut des plus dangereuse, isolés du gros de l'armée les trois chevaliers se taillaient une place par la force de l'épée en plein coeur de l'armée paienne. Mais soudain, Macej apercue un javelinier qui se préparait à faire feu sur le jeu prince, dans un dernier réflexe il se mit sur la trajectoire du tir, mais meme la plus épaisse des armures n'aurait pus resister à un tel jet et Macej s'effondra au sol en protégeant son prince. Un comportement noble et chevaleresque qui lui vallue sa vie. Face à cela, Stefan et le Boleslas de Mazovie décidèrent d'un repli avec leurs troupes afin de s'extirper. Sur la route du retour Stefan reçu une flèche à l'épaule droite. Malgré tout lors de la seconde charge il était bien présent et continuait le combat. Le jeune prince était quand à lui plus prudent.
De son coté Henri de Silésie ne débordait pas d'initiative, cependant il combattait comme un lion disait-on. Son cheval touché, il combattait au sol. Sa légendaire barbe était devenue rouge sang à force d'éclaboussures.
Au centre l'armée prograissait à grand pas. Combattant aux cotés de Baalk le prince de Grande Pologne su se démarquer à la plus grande surprise de Baalk qui ne s'attendait à une telle ardeur de la part du prince. Mais le plus grand des honneurs revint au Maitre Baalk qui put d'un coup sec faire tomber la tete du Roi des Pomésaniens.
Face à cela et à la certaine débacle de l'armée pomésanienne, les troupes se replièrent pour la plus grande joie des cavaliers qui les prirent en chasse. Peu furent ceux qui parvinrent jusqu'à la forteresse de Bakukan.

La siège fut posé et au bout de quelques semaines la forteresse tomba aux mains des chrétiens sans le moindre accros. Ainsi la plus grand partie de la Pomésanie était tombée, seul le village fortifié de Gorme qui n'était pas accessible à l'heure actuelle ne l'était pas. C'est ainsi que quelques regiments eurent pour ordre de s'y rendre et que le reste de l'armée prit immédiatement la direction de la Pogésanie dans le bute soustraire à la Croix cette tribu.
Plusieurs hommes décidèrent cependant de rentrer chez eux, satisfait de leur action et de leur participation à la croisade. Parmit eux se trouvait Henri de Silésie et ses hommes.

C'est ainsi qu'en l'espace d'une saison seulement, le plus clair de toute la Pomésanie est passée sous le controle chrétien. La route de l'Ost n'est pas encore achevée puisque déjà on dit qu'Elbing, grande cité de Prusse, s'apprete à etre assiéger.
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MessageSujet: Re: Le triomphe de la Croix   Le triomphe de la Croix Icon_minitimeMar 10 Aoû - 17:37

Gloire à La Croix !

Mon fils fut sauvé par l'héroïsme de Macej de Czersk et la volonté divine. Blessé dans sa chair mais fortifié en sa Foi, il reste à la tête du contingent de Mazovie pour honorer nostre engagement.

Le preux Macej de Czersk sera honoré par moults Te Deum et sa veuve et ses orphelins sous ma ducale protection !

Konrad Ier Mazowiecki Piast
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