Les hommes au manteau blanc

Hans n'était qu'un jeune garçon d'un petit village au Nord de l'Empire des Germains. Ce modeste village n'avait pas connu la guerre et la destruction depuis fort longtemps. A la mémoire d'Hans aucune guerre n'avait frappée sa douce terre natale où il avait passé toute sa jeune vie. Sa famille faisait partie de ces petits propriétaires qui ne sont pas particluèrement riches mais assez pour possèder leurs propres bien et avoir ainsi du pain et de l'eau chaque. Ces parents n'étaient que bien peu exigent à son égard, pensant avec force qu'Hans reprendrait la petite exploitation le moment venu. Mais ce dernier avait l'esprit ailleur, il ne pensait pas aux biens matériels, Hans se satisfaisait de tout ce que Dieu pouvait lui offrir.
Oui Hans était heureux et chaque jour il remerciait Dieu pour ces somptueux cadeaux qu'il avait su lui offrir, ce cadeau inestimable qu'est une vie simple loin de tous dangers et de toutes contraintes

Hans se plaisait à se promener dans la si belle forêt qui bordait son village. Ces grands arbres, majestueuse création de Dieu tout puissant, lui inspiré un profond respect, ces arbres qui étaient là bien avant lui et qui le serait bien longtemps après. Hans prenait plaisir à pecher dans la rivière qui passait non loin de sa demeure. Une eau calme et douce circulait entre les nombreuses pierre étincelante sous le haut soleil. Cette rivière était semblable à sa vie calme et apaisée. Et pour cela Hans remerciait Dieu. Dieu, Hans l'aimait et lui rendait grace. Il se rendait très souvent à l'église du village. Prier et sacrifier un peu de son temps en l'honneur de celui qui lui à offert une vie si douce. N'ayant de cesse de rechercher ce qu'il pouvait faire et rendrait honneur au Créateur et au sacrifice de son fils unique, le Christ.



Un jour comme les autres, du moins pensait-il, Hans alla à la messe célébra le nom de Dieu et du Christ. Il honora son père et sa mère. Puis comme à son habitude il alla aux abords de la foret avant de se rendre près de sa petite rivière, lieux de repos et tranquilité. Mais cette apparente tranquilité fut cette fois interrompue. De violents bruits se faisaient entendre, c'était le son du claquement des sabots d'un cheval sur la paisaible rivière. Cela suscita la curiosité du jeune garçon. Il alla vers ces bruits et vue plusieurs hommes vetus de manteaux blancs, ils dirigeaient vers le village à vive allure, dans leur dos il put voir une croix noire.

Voici alors que tout le petit village s'agitait. Il était rare que le village reçoivent des étrangers, mais de tels hommes encore davantage. Comme de nombreux habitants Hans les suivit le plus vite qu'il le pouvait jusqu'à la modeste place du village. Là les hommes en manteau blanc parlèrent de Dieu, du Christ, des païens, du devoir de chacun. Un homme habillait en riche clerc, lu un papier, parlant de remission des péchers, de sainte guerre. Le coeur de Hans s'emplit bien vite d'une ardeur qu'il n'avait jamais ressentie auparavant. Il écouta avec attention leur discour, criait comme nombre de ses voisins, levait les bras au ciel. Sa décision était prise il repartirait avec ces hommes au nom du Christ et de Dieu afin de répandre la sainte Parole.

Après plusieurs semaines de marchent il rejoignit alors une grande troupes, plusieurs milliers d'hommes, peu etre meme des dizaines de milliers à ses yeux étaient présent et marchaient tous dans un même sens. Tous portant un croix que se soit sur leur manteau blanc ou au niveau de l'épaule. Tous prier et implorer Dieux. Tout l'Empire semblait avoir répondu à l'appel et marcher d'un pas déterminer vers le lieux qui leur apporterait à tous la rédemption. Ce spectacle Hans fut fier d'y participer, il marchait à coté de pauvres, de riches, de jeunes, de vieux, de malades. Toutes la société était présente. Certains qui hier portaient des guenilles arboraient aujourd'hui le fier manteau blanc. Et il ne fallut que bien peu de temps pour qu'inspirer par Dieu, Hans décida de rejoindre ces hommes et devint un chevalier teutonique, consacrant sa vie à Dieu et à l'Ordre.
C'est ainsi que le pas éclairé par la sainte lumière, le coeur vaillant et pieux, Hans marcha droit vers sont salut, vers le Culmerland disait-on...



L'histoire de Hans n'est qu'une histoire parmit d'autres. En effet, nombreux sont ceux qui à la suite de l'appel ont décidés de rejoindre l'Ordre ou les troupes qui le suivaient. Il semble clair que quelque chose d'impressionnant se préparer à l'Est. Des hommes de petite statures comme la haute noblesse ont répondus, des Allemands comme des étrangers... On dit même que quelques seigneurs de très haute importance se sont joint officiellement à ce combat en faisant voeu et chaque jours ils sont encore davantage à faire de même.